In seiner Funktionalität auf die Lehre in gestalterischen Studiengängen zugeschnitten... Schnittstelle für die moderne Lehre
In seiner Funktionalität auf die Lehre in gestalterischen Studiengängen zugeschnitten... Schnittstelle für die moderne Lehre
Une exposition ficitonelle prenant place dans l'Atrium de la Sorbonne qui met au valeur une perspective artistique sur la science.
« SUAVES » poursuit l'objectif de donner à voir photographiquement la recherche scientifique en valorisant le travail conjoint des scientifiques et des photographes.
L'expo contient:
Pour familiariser un public à une démarche scientifique l'expo devrait offrir en plus un visite ludique et accessible à tous.
En analysant ce lieu singulier, caractérisé par son sol rouge prédominant, on remarque 4 éléments interpellants et inspirants:
l’existance d’un vaste vide à l’entrée du bâtiment divisant les deux espaces
La générosité de l’espace, avec une superficie de 266m2 pour la plus grande zone et de 203 m2 pour la seconde
vitrage total de l’étage offrant une vue vers l'extérieur
Les principes importants du projet sont les notions de regard et de dialogue entre l'intérieur et la nature extérieure ainsi que la création d’un écosystème dans l’exposition alliant le côté artistique des photographies et scientifiques de la recherche.
L'identité visuelle suit le concept de de créer un écosystème visuel en réalisant un vocabulaire de formes graphiques qui se déploie tout au long de l’exposition comme repère visuel dans cet écosystème
Regardant le lieu d'exposition caractérisé par un rouge prédominant, les couleurs restent simples en noir et blanc.
Pour le texte de labeur le typo Dina Chaumont était choisi par sa souplesse rappelant l’aspect vivant de notre écosystème. La typographie de titrage est Space Grotesk, ayant un aspect plus droit et géométrique pour évoquer le côté scientifique de l’exposition.
L’idée était de penser comme une propagation des œuvres photographiques sur le sol de la Sorbonne. En plaçant tout d’abord la première section qui est nature et environnement (13 œuvres) tout autour de la surface, devant les vitres afin de créer visuellement cette transition, cette évolution de l’extérieur vers l’intérieur.
Puis en second lieu, le vide vacant entre les deux zones créer un espace de diffusion vidéo introductif, permettant ainsi de faire le lien entre les deux différentes zones, tout en interpellant le visiteur.
Ensuite vient la section guérir et comprendre l’être-humain (24 œuvres) communiquant directement avec la section traitement de l’information, relation humain-machine (16 œuvres).
Puis la section nature et environnement qui amène le visiteur dans l’autre espace avec notamment la section des matériaux (5 projets), des sens (12 projets) et voix, arts et musique (14 projets).
Chacune des sections est placée de façon à communiquer avec celles qui l’entourent, tout en laissant une déambulation assez libre dans l’espace.
Faisant références à la manière dont la déambulation, la flânerie se fait dans une forêt, un écosystème. De ce fait, plusieurs places sont laissées aux assises afin d’inciter les visiteurs à venir faire une pause et à observer.
En utilisant tout l’espace, que ce soit la pente, le vide ou les baies vitrées, l’espace reste très aérien permettant une déambulation aisée.
Les différentes structures permettent plusieurs niveaux de lecture, comme différentes hauteurs de strates, tout en offrant une diversité de tailles de photos. Ainsi, depuis un point de la pièce, on peut observer un large panorama de photos.
Implanter une section sur la pente permet de créer un large panorama et d’ainsi pouvoir observer la totalité des photographies tout en créant encore une fois un parallèle entre l’intérieur et l’extérieur. Tout cela est possible grâce à une platine orientable visée à un support antidérapant.
L'installation est légère et modulable pour rappeler l’aspect naturel et vivant de l’exposition, avec l’idée de respiration. Elles permettent encore une fois différentes strates et niveaux d’observation. L’espace d’entrée ou il y avait le vide se transforme en espace d’introduction où sont diffusées les discussions entre scientifiques et artistes que l’on peut écouter via casque bluetooth.